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    Chapitre 1 : Un jour différent

     

    Los Angeles était une grande ville au Sud-ouest de la Californie, Marion habitait dans un quartier assez « riche » de la ville, celle-ci qui n’étant pas trop loin du centre-ville, y allait régulièrement comme tous les jeunes adolescentes de son âge qui rêverait de passer des weekends à faire les boutiques, mais la jeune Marion, qui était un peu trop gâté, n’en avait gère besoin. La jeune adolescente de 17ans était blonde aux yeux d’un magnifique bleu turquoise, Marion était vraiment belle pour son âge, elle était la fille que tout le monde rêvait d’être, populaire au lycée, mais aussi auprès des garçons, qui se plier en quatre pour avoir l’honneur de sortir ne serraisse qu’une petite heure auprès d’elle.

    Marion était encore dans son lit à 9h13 du matin mais ne s’attendait pas à avoir une « petite » surprise !

    -Merde… Où est ce foutu réveil… Réalisa la jeune encore endormis, à la recherche d’une petite boite qui était sensé la réveiller et ainsi ne voulant pas arriver au lycée en retard. Malheureusement pour elle, s’était déjà le cas depuis une bonne petite heure. 

    Elle sentit un rayon de soleil lui caressé le visage à travers la fenêtre de sa chambre. Couvert d’un drap blanc, Marion s’étira lentement afin de se souvenir ce qu’elle faisait dans son lit à cette heure-ci. Se souvenant seulement de la série qu’elle avait visionné hier soir, avant de fondre dans les bras de Morphée.

    Elle se leva brusquement trouvant son radioréveil à terre qui afficher les neuf heures passés, puis se précipita vers la salle de bain pour ainsi ce préparé à la journée qui l’attendait. Elle ressortit une demi-heure plus tard coiffée, maquillée et habillée, puis se dirigea vers les escaliers qui donnaient sur le salon et pressa le pas pour enfin sortir de chez elle.

    Mais la jeune adolescente fut brusquement coupé de son élan quant-elle vit une montagne de débris qui était étalé sur la route, coupant ainsi la circulation. Ses yeux se tournèrent vers les maisons voisines, qui ressemblaient maintenant à des ruines. Les toits s’étaient effondrés, les poteaux d’électricité étaient renversés sur les routes et dégagés alors de l’électricité statique qui partait dans tout les sens.

    Prise de stupeur elle fit un pas en arrière et rentra illico dans sa maison. Elle sortit de son sac son téléphone portable composant le numéro qu’elle connaissait sur le bout des doigts et qui n’appartenait qu’à sa mère.

    Une tonalité, deux tonalité, trois puis quatre et vint enfin la cinquième qui annoncé la boite vocal.

    Marion tremblait de tout son corps, sa mère n’était pas joignable et elle ne savait pas où allait. Son père étant en voyage, il n’était d’aucune utilité. Ne lui restant qu’une solution elle prit un autre sac où son portefeuille, sa carte d’identité et tout le tralala résidaient et sortit confiante de chez elle.

    Elle marcha pendant une heure, espérant trouver quelqu’un qui pourrait l’aide, n’importe qui. Mais elle ne vit pas un chat dehors, ni aucune forme humaine, comme si toute humanité avait disparu du jour au lendemain. Laissant la pauvre Marion, seule…

    L’adolescente ne regardait que ses pieds, marchant sans s’arrêter, l’espoir de trouver une personne s’était envolé. Elle réfléchissait à ce qu’elle pourrait faire, deux choix s’offraient à elle : mourir ou vivre dans l’hystérie avec seul son ombre comme compagnie.

    Soudain une lueur d’espoir jaillit dans les yeux de la jeune blonde qui aperçut au loin la forme d’un homme qui avançait vers elle. Soulagé, Marion commença à courir vers celui-ci, le sourire aux lèvres, heureuse de savoir qu’elle n’était pas seule. Mais à force de se rapprocher du nouveau venu, elle ralentit, le détaillant de plus près, elle remarqua les légères blessures qu’il portait au niveau du visage, mais ce qui la frappa de plus près, c’était son boitement au niveau de la jambe droite et elle vit rapidement au trou profond vers la cuisse, le sang dégoulinait au fur et à mesure de la pression du corps lorsqu’il marchait. Marion avait des vertiges, ce spectacle lui rappelait les nombres films gore américain qu’elle avait visionnés en compagnie de ses amies, mais cette fois-ci, il s’agissait de la réalité.

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    Une vraie limace je sais *pardonner-moi* *fuis*.



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